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By: Georges Rodenbach (1855-1898) | |
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By: Valmiki | |
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By: Louis Couailhac (1818-1885) | |
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![]() Premier de l’an, jour si triste pour les uns, si beau pour les autres, je vais essayer d’esquisser ta physionomie ; et je te traiterai aussi bien que possible. Je te redoute trop, moi qui suis une de tes victimes ordinaires, pour ne pas me montrer indulgent envers toi ! Je ne te demande q’une chose, c’est qu’il te plaise de me rendre la pareille. Cher lecteur, puisse mon cadeau du jour de l’an vous plaire !(Extraits) First Day of the Year, so sad to some, so lovely to others, I shall attempt to portray you ; and I shall be as gentle as can be... | |
By: Georges Courteline (1858-1929) | |
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![]() Messieurs les ronds-de-cuir, de Georges Courteline, parut, pour la première fois, en feuilleton, dans l’Echo de Paris, au cours des années 1891-1892. Une version légèrement remaniée fut éditée, sous forme de livre, par Flammarion, en 1893. Le livre, constitué d’une suite de cinq tableaux, narre la vie de quelques employés d’un service administratif – celui des Dons et Legs – dont l’activité, suivie pendant quelques jours, dresse, sous le mode de la comédie, une satire féroce du monde des employés de bureau. (par Aldor) |
By: Eugène Sue (1804-1857) | |
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![]() Monsieur Rodolphe, un ange gardien mystérieux. Il sait se battre comme pas deux et est plus fort que le Maître d'École, au grand dam de la Chouette. Lors de ses recherches dans Paris, pour retrouver l'enfant de Mme Georges, disparu depuis 15 ans, il rencontre devant la maison de Bras-Rouge la jeune Fleur-de-Marie et le Chourineur, tous deux âmes en perdition mais pas encore perdues. Dans Paris rôdent également deux mystérieux Anglais qui cherchent Monsieur Rodolphe. Cette histoire pleine d'argot est un des plus gros succès littéraires en France. Publiée dans le Journal des Débats, même les illettrés n'en rataient pas un épisode. | |
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By: Aleksandr Sergeevich Pushkin (1799-1837) | |
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By: Jacques Cazotte (1719-1792) | |
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![]() De retour de sa campagne, la Baronne de … va voir la Marquise de …, qui n’a plus fermé l’oeil depuis quinze jours. Qu’est-ce qui mieux qu’un discours de l’Abbé pourrait y remédier ? Le voici justement qui se présente. Sans talent pour les réflexions, ce sera par un conte qu’il tentera de les endormir : Riante, la Fée Troisbosses et d’autres seront les héros de sont récit cocasse. Que de sottises ! When visiting the Marquise of …, the Baroness of … finds her deprived of sleep for a fortnight... | |
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By: Richard Wagner (1813-1883) | |
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By: marquis de Sade (1740-1814) | |
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By: Charles-Louis de Montesquieu (1689-1755) | |
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![]() « Cet ouvrage a pour objet les lois, les coutumes et les divers usages de tous les peuples de la terre. On peut dire que le sujet est immense, puisqu'il embrasse toutes les institutions qui sont reçues parmi les hommes ; puisque l'auteur distingue ces institutions ; qu'il examine celles qui conviennent le plus à la société et à chaque société ; qu'il en cherche l'origine ; qu'il en découvre les causes physiques et morales ; qu'il examine celles qui ont un degré de bonté par elles-mêmes... |
By: Frédéric Bastiat (1801-1850) | |
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By: P. L. Jacob (1806-1884) | |
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By: Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716) | |
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By: Ivan S. Turgenev (1818-1883) | |
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By: Edmond Rostand (1868-1918) | |
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By: Mayne Reid (1818-1883) | |
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By: Charles Nodier (1780-1844) | |
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![]() C’est ainsi que commence ce conte de fées : « Il y avait une fois un pauvre homme et une pauvre femme qui étaient bien vieux, et qui n’avaient jamais eu d’enfants : c’était un grand chagrin pour eux, parce qu’ils prévoyaient que dans quelques années ils ne pourraient plus cultiver leurs fèves et les aller vendre au marché. Un jour qu’ils sarclaient leur champ de fèves pour ôter les mauvaises herbes, la vieille découvrit dans un coin, sous les touffes les plus drues, un petit paquet fort bien troussé qui contenait un superbe garçon de huit à dix mois, comme il paraissait à son air, mais qui avait bien deux ans pour la raison, car il était déjà sevré... |
By: Charles Nodier (1780-1844) | |
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![]() De toutes les erreurs populaires, la croyance au vampirisme est à coup sûr la plus absurde; je ne sais même si elle ne l'est pas plus que les contes de revenans. Les vampires ne furent guère connus que vers le dix-huitième siècle. La Valachie, la Hongrie, la Pologne, la Russie, furent leurs berceaux. Voltaire, dans son Dictionnaire philosophique, nous dit: «On n'entendit parler que de vampires depuis 1730 jusqu'en 1735; on les guetta, on leur arracha le coeur, on les brûla: ils ressemblaient aux anciens martyrs; plus on en brûlait, plus il s'en trouvait... |
By: Charles Nodier (1780-1844) | |
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